A N I M E S P R I N T E M P S 2 0 1 8 🌺
Bien le bonjour chers lecteurs ! Aujourd’hui je vous retrouve pour un article peu conventionnel, et dont je n’ai pas pour habitude d’entreprendre ! En effet, depuis quelques jours, une envie de visionner des animes m’est soudainement revenue (bien sûr, nullement au détriment de la lecture, que je continue toujours !) De plus, j’ai souhaité ici vous partager 3 animes différents, mais qui rentre tous dans mes thèmes de prédilection ! D’ailleurs je tiens à préciser que j’ai visionné jusque-là les 4 premiers épisodes de chaque série.
__________________________________________________________________—⭐️⭐️⭐️⭐️ / 5

Alors, on commence sur les chapeaux de roue avec mon premier thème de prédilection : les yōkai, et tout ce qui touche de loin comme de près au folklore japonnais. L’anime Kakuriyo no Yadomeshi (ou Afterlife Inn Cooking) me plut pour son synopsis, qui me faisait légèrement penser à Kamisama Hajimemashita. En effet, nous faisons la connaissance d’une jeune étudiante nommée Tsubaki Aoi. Celle-ci possède un don, percevoir les créatures surnaturelles. Suite à cette capacité, elle fut délaissée par sa mère enfant, et c’est son grand-père, Shirô qui l’a recueilli et qui lui transmit par la même occasion sa passion pour la cuisine.
Un jour, vacant à ses occupations quotidiennes, elle fit la rencontre d’un Yokai du nom de Ôdanna. Il l’informe que Shirô a accumulé une énorme dette, et que pour le rembourser, elle doit devenir son épouse. Offusquée par cette idée, la jeune étudiante décide de passer un accord, rembourser la dette de son grand-père, en travaillant dans l’auberge Tenjin dont le jeune Ôdonna est propriétaire.
Ainsi, l’aspect culinaire attisa ma curiosité. Le voir au profit d’un monde folklorique m’enchantait énormément. L’univers de cet anime se veut humoristique, bon enfant et distrayant. Notre héroïne a du caractère et ne se laisse pas intimider par ce ténébreux d’ Ôdonna. D’ailleurs celui-ci est plus doux et compréhensif que je ne l’imaginais, bien qu’il puisse avoir des accès de colère, et sait se tempérer et juger les différentes situations.
Bien évidemment, je suis qu’au début de la série, mais je pense que je continuerai celle-ci jusqu’à la fin, bien quelle comporte une vingtaine d’épisodes. Le folklore y est très présent, et tout est expliqué au fur et à mesure des épisodes, mêlant très bien les yōkai et l’art culinaire de notre jeune étudiante.
__________________________________________________________________—⭐️⭐️⭐️⭐️ / 5

Dorénavant nous passons à un tout autre registre, beaucoup plus contemporain et qui est sûrement mon petit coup de coeur de la saison. D’ailleurs, son adaptation est tirée du manga portant le même nom, et qui a été licencié en France tout récemment sous le nom de « Otaku Otaku » ! Alors pourquoi Wotaku ni Koi wa Muzukashii est mon petit chouchou de la saison ? Tout simplement parce qu’il s’adresse particulièrement à son propre public, et cela est plutôt innovant ! Et de plus, il s’agit du studio d’animation qui a également produit Kuroshitsuji, SAO ou encore Doukyuusei, donc graphiquement parlant, c’est très plaisant.
Alors, nous faisons la connaissance de Momose Narumi, une jeune femme charmante, jovial, toujours bien apprêtée et de bonne compagnie. Cependant, les apparences peuvent parfois être trompeuses, puisque Momose est une fujoshi invétérée, (c’est-à-dire qui apprécie les séries mettant en scène des relations homosexuelles) mais également fan de mangas et d’otome games (jeux de romance virtuelle). Cependant, elle tient à ce que cela reste secret. Un jour, lorsqu’elle se présent à son entretien d’embauche, elle découvre que son ami d’enfance Nifuji Hirotaka y travaille, et ne manque pas par la même occasion de lui demander si elle participe toujours au Comiket (convention du manga et de l’anime) Ainsi son terrible secret vient d’être dévoilé.
Nifuji, quant à lui ne vit -littéralement- que pour les jeux vidéos. Dès qu’il a un moment de libre, il n’hésite pas à sortir un jeu vidéo sous n’importe quel support. De nature solitaire, réservé et peu expressif, (il préfère passer par e-mail si besoin) il ne communique que très peu avec ses collègues.
On peut donc se rendre compte que le terme « otaku » désigne plusieurs domaines variés, et c’est ce qu’il m’a avant tout plus. On ne se cantonne pas à un cliché, et au fil des épisodes nous avons droit à quelques insertions qui prône le genre, tel que Mario Kart ou Sailor Moon (désolé les seuls qui me viennent à l’esprit). L’amour est également présent, puisque le titre alternatif est » It’s Difficult to Love an Otaku » , et celui-ci est explicitement évoqué lors du premier épisode, et sera un sujet constant au cours de la série.
____________________________________________________________________⭐️⭐️⭐️ / 5

Pour terminer, nous allons nous intéresser à un mythe connu depuis bien longtemps, celui des vampires. Alors certes, ils ont eu une grande épopée au cours des années 2000 au point d’en faire une over dose, cependant si je me suis intéressée a cette série, c’est parce qu’elle est l’adaptation du manga portant le même nom, soit Devil’s Line. Elle est également licencié en France par les éditions Kana.
Dans cette série, nous suivons la vie tranquille de Tsukasa Taira, jusqu’au jour où celle-ci subit une attaque de vampires. En effet, ces êtres sont capables de se fondre dans la masse en cachant leur vrai nature. Heureusement, la jeune étudiante s’en sortira indemne grâce à Yûki Anzai, moitié humain, moitié vampire, qui utilise ses capacités vampiriques au profit de la société, puisqu’il fait partie d’une section spécifique de la police, l’équipe F. De ce fait, gardant un œil sur la jeune Tsukasa, Anzai finit par être attiré par la jeune fille.
Je dois bien avouer que le synopsis ne casse pas 3 pattes à un canard, mais le personnage d’Anzai m’intriguait énormément. On apprend à le connaitre au fil des épisodes, cependant je trouve que la relation entre le jeune homme et Tsukasa va légèrement trop vite. Mais j’apprécie les différents liens qui subsistent entre les divers personnages, autant secondaires que principaux, et l’intrigue prend de l’ampleur, notamment dès l’épisode 4.
Ainsi se clôture ce petit article. Je voulais vous donner mes premières impressions sur les animes que je compte suivre tout au long de la saison. Bien évidemment je suis restée très concise, mon but premier étant de vous faire découvrir quelques animes qui sortent du lot. J’espère que cela vous aura plu, et n’hésitez pas à me dire ceux que vous suivez en ce moment !
J’aime bien Devil’s Line 😍
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Oui, le 5 ème épisode était fort plaisant ! :)
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Je me suis arrêté à l’épisode 4, comme je vais le lire en manga, je veux pas me spoiler ^^
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Ah d’accord, j’en dis pas plus alors ! 😊
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[…] que j’ai vu l’anime (paru pour la saison printemps 2018) et dont vous pouvez retrouver mon avis sur le début de l’anime (sans spoil). Et – avant de rentrer un peu plus dans les […]
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[…] Il s’agit bien évidemment de mes animes du moment. Et d’ailleurs, le premier lancé en printemps dernier vous avez plutôt plus. C’est pourquoi je suis d’autant plus enjouée pour celui de cet […]
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[…] si vous souhaitez découvrir mon avis sur les quatre premiers épisodes de la série, c’est ici). Bref, revenons-en à nos moutons. Comme je le disais, j’affectionne grandement cette […]
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[…] animes, et de discuter de mes petits coups de cœur. Alors comme pour les articles précédents ( Printemps 2018 / Eté 2018 / Automne 2018 ) à l’heure où j’écrirai ce billet, j’aurai […]
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