So Charming – Tome 13

Bonjour tout le monde, j’espère que tout se passe pour le mieux en ce milieu de semaine ! Aujourd’hui je reviens pour vous parler d’un second titre en romance que j’affectionne aussi aux éditions Kana (et dont je remercie chaleureusement les éditions Kana pour l’envoi). Je parle bien évidemment de So Charming! qui connaîtra son dénouement durant l’année.

En effet le treizième opus paru en ce début d’année est l’avant-dernier de la série. Comme toujours j’ai passé un très bon moment de lecture en compagnie de Nonoka et Naoya. Donc si jamais vous souhaitez connaitre la suite, je vous laisse avec la suite de l’article.

Alors, autant abordé le sujet de suite, j’ai été agréablement surprise par le chapitre n° 49 ! Je ne m’attendais pas à ça, et je dois dire que cela m’a fait revoir mon jugement sur Naoya. En effet, j’avais déjà évoqué que le jeune lycéen n’était pas très démonstratif et ne s’exprimait que par des phrases simples où des « haha ». Au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire, on se rend bien compte que cela est une volonté de l’auteure. Cependant, cela rend le personnage plutôt antipathique et peu attrayant. Lors de l’opus précédent (que vous pouvez retrouver ici) j’avais déjà souligné l’incapacité de Naoya à exprimer ses sentiments.

Eh bien dans le chapitre 49, nous avons droit à plus d’une dizaine de pages ou le lycéen va exprimer clairement à Nonoka tout ce qu’il ressent. Alors certes, il ne le fait pas oralement, mais par sms. N’empêche que cela permet de retracer l’ensemble du chemin parcouru par nos deux tourtereaux et de comprendre les émotions et le ressenti du garçon. Je dois bien admettre que j’ai GRANDEMENT apprécié ce moment, car je n’en pouvais plus de ses phrases succinctes.

Les 3 chapitres suivants se concentrent essentiellement sur les examens aux concours d’entrée pour les facultés publiques ou privées. Bien qu’assez classique dans la romance, cela permet d’entrevoir la pression mise sur les épaules des lycéens (notamment sur l’aspect financier, et que chaque famille ne peut pas forcément se permettre de tels frais de scolarité). Je pense notamment à Nonoka, ou sa mère lui demande explicitement, en pleine période des concours, d’intégrer une fac publique plutôt que privée, vis-à-vis de son frère qui lui, devra sûrement intégrer une fac privée. Cela permet de mettre en évidence cette période si charnière et stressante pour les élèves en dernière année de lycée au Japon.

Un autre sujet se glisse doucement dans les dernières pages de cet opus, mais je pense l’abordai pour la sortie du dernier tome (dont aucune date n’a encore été annoncée par l’éditeur). Celui-ci est tout aussi classique dans la romance, mais j’aurais un peu plus matière à discuter.

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